Après quelques mois de coma blogal, j'suis un peu rouillée du clavier mais en cette soirée pré-apocalyptique, à l'heure où Tom Cruise flippe dans son bunker et où la ménagère insomniaque réfléchit au sens de la vie devant une émission de Frédéric Lopez, je me dis allez ma grande, fais un article, be a star.
Sauf que malgré quelques séances d'exercices cardio à Jibé-slim-club pour vaincre notre sédentarité (après Craignos-movie-jibé-theater le cinéma experimental white trash, Jibé-by-night qui a été envoyé aux prudhommes par le voisinnage et Jibèrne royaume de la glande (avec sa variante "soirée entre couilles" Jiburne et la filiale alimentaire J'y-bouffe), on va en faire une marque déposée) qui ont valu à nos muscles de pleurer leur grand-mère pendant deux jours (apparemment les étirements sur Françoise Hardy n'ont pas été d'une grande efficacité), j'ai rien d'une star et surtout pas le compte en banque après la session cadeau de Noël 2012 (l'art de faire une transition pourrie en dix lignes, et de finir encore avec un pavé fabriceluchiniesque qui veut rien dire). Toujours est-il que Noël j'aime bien, les partiels j'aime moins.
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